La traduction de ton article Dina
:
"J'étais à plus de 200 pour cent entouré d'amour" Elle n'avait pas encore cinq ans, quand elle perdait sa mère Romy Schneider. Depuis trois ans, Sarah Biasini marche dans ses empreintes.
après "Julie - chevalier de Maupin" Sarah Biasini, 29 ans maintenant lors de son deuxième film pour la télévision. Pour la coproduction française-autrichienne "Nous sommes tand hais" (Alechemic Productions/Adi Mayer le film) elle se trouvait quelques jours à Vienne devant la caméra. Les OÖN la rencontrait dans une pause de midi.
OÖN : On vous parle toujours beaucoup de votre mère. Cependant nous parlons pour une fois de votre père Daniel Biasini chez qui vous avez grandi...
Biasini : Il était toujours un père merveilleux. Si quelqu'un est un seul éducateur, il essaie de donner l'amour pour deux. Aussi ses parents, son frère, le frère de ma mère et sa fille se sont souciés de moi. J'étais entouré de plus de 200 pour cent d'amour et étais très heureuse.
OÖN : quel rapport vous avez aujourd'hui avec votre père ?
Biasini : un très étroit. Il est celui que j'appelle, si je me sens en danger ou autre, et il sait chaque fois me rassuere. Je voudrais souhaiter un tel père à chaque personne.
OÖN : Comment avez vous dit à votre père que vous voulez devenir actrice ?
Biasini : j'avais 22 ans, quand je couvrais mon propre appartement. Oui, et le désir de profession : j'avais étudié l'histoire de l'art, quand à moi est devenus clair que je voulais faire quelque chose de différent. Je n'osais pas le lui dire, j'en ai discuté mieux avec sa mère qui m'a mise en garde naturellement. Un jour, je devais m'en débarrasser, je lui disait cependant ainsi, comme si ce désir était encore rejeté : "si tu Sais ... j'aurait mieux volontiers ... cependant ..., je fais des études plus loin..." Là il me regardait et pensait : "Non, non. Même, si tu voulais protéger des vaches et moutons au pays tu as le plaisir de ça - alors fais, fais cela. Et si tu es absolument l'actrice, alors devient le. "J'étais heureuse naturellement, parce que je savais : Je me trouve déjà au pied du mur, cela doit être simple!
OÖN : Quand tombait la décision définitive ?
Biasini : cinq ans avant. Mais j'avais peur de visiter une école de spectacle en France, donc je me suis inscrite pour un an au Strasberg des instituts à Los Angeles. Ensuite je trouvais bientôt un agent, et ça allait bien vite. Je devenais engagé pour "Julie chavalier de Maupin", là, je devais jouer et non seulement, mais encore chanter, dansent, monter à cheval et escriment. Cela me plaisait.
OÖN : Votre mère avait des amis comme par exemple Alain Delon ou Michel Piccoli. Avez vous pris le tuyau de l'un d'eux?
Biasini : chez les appelés non, mais chez le metteur en scène Claude Sautet qui a tourné cinq de ses meilleurs films (comme "les choses de la vie","César et Rosalie","Max et les ferralieurs" avec celui-ci). Je faisais des études encore, quand je le rencontrais - il est mort en 2000. Là je ne risquais pas encore de raconter le désir qui sommeillait déjà dans moi.
Nous parlions de ses films communs, avons ri pendant 1h30 et avons pleuré.
OÖN : quels films de votre mère vous aimez particulièrement ?
Biasini : Comme dit, ceux de Claude Sautet. Et "What's new, Pussycat ?"
OÖN : Et "Sissi" ?
Biasini : c'était sans aucun doute un pas important pour elle, cela convenait à son âge, et elle a apporté dans ce rôle non seulement son visage d'ange, mais encore beaucoup d'elle-même.
OÖN : Vous souvenez vous encore des moments avec votre mère ?
Biasini : Oui. Au petit déjeuner dans le lit, au fait de chatouiller et aux jeux de refuges, aux combats de boxe drôles. Je le faisais aussi avec mon père.
OÖN : Vous avez aussi déjà joué au théâtre ?
Biasini : Oui, "le pieds nus dans le parc" à Paris. Je voudrais rester sur film / théâtre sur ce changement et je cherche en ce moment pour 2007 une pièce.
OÖN : avez vous suivi vous aussi le championnat du monde de football ?
Biasini : Et si! Et dans la phase finale, je croyais ne pas me fier à mes yeux. J'étais choqué par celui-ci qui se passait là autour de et avec Zinedine Zidane.
OÖN : Comment Vienne vous a plu?
Biasini : extraordinairement bien. Je me suis fait à mon temps libre toujours sur le voyage d'exploration dans la ville, trouvait formidablement les représentations de film d'opéra à la place de l'Hôtel de ville, j'ai bu du thé spécialisé et j'ai joui de l'atmosphère dans le Café Sperl, où on se croit encore comme au 19e siècle.
OÖN : Etes vous superstitieuse?
Biasini : Je connais toutes les peurs des superstitieux et j'essaie toujours de faire le contraire. Mais, peut-être, il y a aussi comme le "signe". J'ai vu déjà une fois cela. J'étais avec un ami au Portugal, visitais aussi le Sintra merveilleux à proximité de Lisbonne. Un an plus tard, j'étais engagé pour "Julie", je regardais le plan de tournage et trouvais là exactement ces scènes au Portugal que j'avais visité, alors.
OÖN : Comment votre rôle de Marie vous plait dans"Nous nous sommes tand hais" ?
Biasini : Fantastique, autrement, je ne l'aurais pas accepté. C'est une chère histoire allemand-français qui commence en 1944. A la fin de la guerre, le mari, un Allemand, dans un camp est isolé, on rase la femme à cause de ses Liaisons avec celui-ci les cheveux et les bat. Cependant elle a la force de commencer une nouvelle vie à Paris - avec un enfant qu'elle a de son aimé. Cinq ans plus tard, il vient les revoir...
OÖN : Avec une Happy end?
Biasini : avec une Happy Happy end.